ITout Président que tu es,
Tu n’en es pas moins demeuré
un homme véritablement humble,
Empli d’égards et d’humanité ;
Que Dieu te rende au centuple,
Tout le bien que tu fais à ton peuple ;
En parfait disciple
Des Dieux pourfendeurs
d’injustices et de malheurs,
En Artisan éclairé d’une vision
Qui mène à de grandes hauteurs
Et en infatigable laboureur
que tu demeures,
Tu arroses de tes sueurs
Des sillons de labeurs
Pour un avenir meilleur ;
II
Et portant sur tes épaules,
Le fardeau des espérances de tout un peuple,
Te voilà par monts et par vaux,
Comme un coureur de haies de haut niveau,
Sautant sans relâche les obstacles
Où flambent des défis semés d’embûches,
Dopé par une puissante lucidité prospective,
Et porté par une sorte d’état de grâce,
Tu t’élances vers des prouesses,
sous des encouragements célestes
IIIHugolien par ce souffle sonore légendaire contre la misère
Au cou de laquelle, Sabre au clair,
Tu te jettes corps et âme pour la défaire,
Toi dont le regard parfois amer
sur ce monde délétère
S’exaspère et tourne en colère ;
Herculéen Jusqu’au-boutiste
Dans ta politique volontariste
de désenclavement des contrées
les plus reculées,
Où l’eau potable partout coulera !
Où la lumière partout parviendra !
Où l’école partout sera !
Où l’assistante publique partout dispensera
des soins de qualité pour tous !
IVC’est là ! La centralité d’un homme
et de sa ligne politique terminatrice des injustices ;
C‘est là ! Le chant du rêve collectif,
À l’écoute duquel l’homme s’efface et les hommes s’avancent.
C’est là ! Les grandes orgues du cœur battant d’un homme
Dans la vérité intime de sa foi unanime,
Et dont le retentissement répercute multiplement
le message du Créateur.
C’est précisément là !
L’invincible accent de la solidarité nationale,
Parce que conformément à l’idée que tu te fais de la justice sociale,
Le développement ne saurait être le privilège des citadins seuls,
Mais de toutes les âmes ressortissantes à notre sol ;
V
Toi qui es le sommet
vers lequel refluent tant d’espoirs,
Toi qui es la lumière
vers qui se tournent tant de soirs
pour sortir de l’ornière,
Puisses-tu savoir Essozimna !
Que les fruits de tes efforts multiples
Sont le refuge glorieux
De nos espoirs victorieux ?
Et que si les conjectures sur l’avenir paraissent toujours comporter maintes incertitudes obscures,
Le destin s’emploiera à les éclaircir,
Parce que tu as un cœur grand comme ça, Essozimna !
VI
Puisse Dieu inspirer continûment tes actions,
Dont les effets améliorants sur la vie quotidienne des populations
Ouvrent une percée lumineuse
Sur des lendemains aux couleurs radieuses,
Comme le soleil dans son aurore joyeuse.
Bon anniversaire ! Monsieur le Président. Santé et pluie de bénédictions.
Le GCE Cyr ADOMAYAKPOR
