Récépissé N° 0010/HAAC/12-2020/pl/P

Le gouvernement et le secteur privé se serrent les coudes pour annihiler le coronavirus

Date:

Le ministre de l’Economie et des Finances, Sani Yaya a assisté à la réunion du comité technique du cadre de concertation avec le secteur privé, vendredi 15 mai 2020. L’objectif est d’apporter des réponses aux inquiétudes légitimes des milieux d’affaires par rapport aux « conséquences économiques de la crise du coronavirus ».

Vue partielle des acteurs présents

« La pandémie est une crise sanitaire mondiale aux conséquences sociales, économiques et financières désastreuses sur la vie socioéconomique », a introduit Sani Yaya qui s’est appuyé sur des données fiables : « D’après la dernière révision du cadre macro-budgétaire, le taux de croissance du PIB pourrait être de 1,3% et même connaître une contraction de 1,5% en 2020 dans l’hypothèse la plus pessimiste contre une prévision initiale de 5,5% ».

[the_ad_placement id="article-3-rectangulaire"]

Aider les entreprises à surmonter la crise 

C’est pourquoi, « le gouvernement a adopté toute une série de mesures visant à maintenir l’activité économique par un soutien à la consommation des ménages et aux besoins des entreprises du secteur privé durant la crise (…). Les autorités feront tout pour protéger le tissu des PMI/PME comme d’ailleurs le secteur informel », a garanti le ministre.

Vue d’ensemble des participants

Repenser le modèle économique et réviser le PND

Pour M. Yaya, « cette crise sera sans doute l’occasion de repenser le modèle économique pour le rendre moins dépendant de l’extérieur et donc plus résilient face aux chocs externes. Cette nouvelle orientation de la politique économique amènera le pays à réviser et à actualiser son Plan national de développement (PND) pour lequel le secteur privé est appelé à jouer un rôle déterminant ».

Il n’y a plus de dette commerciale

Des efforts sont consentis par les autorités pour développer le secteur agricole avec les subventions de certains produits, l’amélioration continue du climat des affaires, les avancées en matière de l’énergie et de l’eau. A ce jour, « il n’y a plus de dette commerciale dans le portefeuille de l’Etat, ce qui veut dire que les paiements des dettes commerciales est réglé systématiquement dans le but de relancer l’activité économique ».

A gauche de la photo, Germain Essohouna Meba, président de la CCIT

Preuve par neuf, « le gouvernement est en permanence soucieux de la situation du secteur privé, de sa robustesse, de la qualité de sa situation financière, de sa capacité à lever des ressources et à investir parce que tout ceci a pour but, la création de l’emploi et c’est l’un des objectifs phares du PND ».

Le Nouveau Reporter
@: lenouveaureporter@gmail.com. Pour vos demandes de couvertures médiatiques, annonces, pub, productions multi-support… Veuillez-vous adresser au : Tél : (00 228) 92 60 75 77 / 99 50 60 10

[the_ad_placement id="article-carre-1"]

Société

[the_ad_placement id="article-carre-2"]