Récépissé N° 0010/HAAC/12-2020/pl/P

L’UE souhaite que les réseaux sociaux partagent leurs rapports sur les fake news avec elle

Date:

- Advertisement -

Facebook, c’est plus de deux milliards d’utilisateurs. Ce réseau social tout comme Twitter constitue un important stockage d’informations. Mais, il n’est pas rare de découvrir sur ces plateformes de fausses informations et des nouvelles non pertinentes. Parfois, il s’agit de pure invention qui visent à porter atteinte à autrui. Pour contrer ces fake news, l’Union européenne réfléchit à une nouvelle mesure qui va contraindre les réseaux sociaux à être plus transparents sur leurs actions.

Les fausses informations sont dangereuses. Et plusieurs pays font l’effort d’en lutter contre. Même, les différentes plateformes sociales qui servent de support pour ces intox multiplient les idées pour réduire ces fausses données. Récemment, Facebook a pris des mesures qui permettent à chaque utilisateur de discerner le vrai du faux grâce notamment à certaines fonctionnalités telles que des liens de sources fiables, des bandeaux d’avertissement.

Ces fake news sont de véritables armes contre la démocratie et la vie citoyenne si elles sont bien utilisées. Les rumeurs ont plusieurs fois conduit à des affrontements, reconnaît Daily Africa post. « C’est donc pour contrer ces fake news que l’Union européenne est en train de réfléchir à une nouvelle mesure qui pousserait les réseaux sociaux à être plus transparents sur leurs actions », rapporte le site.

L’UE souhaiterait que les réseaux comme Facebook et Twitter partagent leurs rapports mensuels sur leurs actions pour supprimer les fausses informations de leur plateforme. Cela va permettre aussi d’avertir les utilisateurs quand il s’agit de fake news.

Le Nouveau Reporter
@: lenouveaureporter@gmail.com. Pour vos demandes de couvertures médiatiques, annonces, pub, productions multi-support… Veuillez-vous adresser au : Tél : (00 228) 92 60 75 77 / 99 50 60 10

Société