Un député à l’Assemblée nationale togolaise pleure le décès de sa fille Aurélie Akodah, retrouvée morte. À ses côtés une lettre dans laquelle elle pointe du doigt un expatrié français, employé de la Brasserie BB Lomé.
La jeune Aurélie Akodah « âgée d’une vingtaine d’années, a avant son décès, laissé une “longue” lettre dans laquelle elle désigne un employé de la Brasserie BB Lomé de nationalité française, comme étant le responsable de son malheur. La jeune fille qui vivait en France et rentrée au pays en avril dernier, dit être en relation avec cet employé de la Brasserie BB Lomé. Une relation qualifiée par la défunte de “toxique” et “périlleuse” », selon les révélations de nos confrères d'”Indépendant express.”
Elle a confié dans cette lettre, selon la relation des faits de nos confrères, que cet employé à la Brasserie BB de Lomé, l’aurait poussée à la mort après l’avoir soumise à des actes et des comportements répréhensibles. « Pour Aurélie Akodah, son copain “accroc” à la drogue, lui infligeait toute sorte de traitements inhumains et dégradants. Le Français la violentait, l’insultait, l’agressait, et lui jetait tout ce qu’il avait à portée de main au visage. Les domestiques qui travaillaient chez eux n’étaient pas épargnées »,
« Des domestiques avec qui il couchait sans leur consentement et avec violence. J’ai subi de l’abus émotionnel, des crises de colère de la part de lui… », a écrit la jeune Aurélie avant son décès
« L’expatrié français est également accusé d’avoir exigé de sa conjointe d’avorter d’une grossesse. Il m’a dit de mettre un terme à ma grossesse et là, je vais faire mieux. Je vais mettre un terme à ma vie aussi. Mais je ne veux que ma mort ne soit pas en vain », a-t-elle écrit dans sa lettre relevée par nos confrères.
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