Récépissé N° 0010/HAAC/12-2020/pl/P

Vers un renouvellement du parc automobile et l’efficacité du transport routier au Togo

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C’est en gros l’une des initiatives que compte acter le gouvernement togolais dans sa stratégie pour cette année, et ce afin de booster le secteur de l’industrie du transport routier. Le gouvernement se dote ainsi de plusieurs manœuvres pour y arriver.

Collecter déjà des études existantes ainsi que les actions initiées dans le secteur du transport routier au Togo; établir ensuite le diagnostic aussi bien au plan institutionnel que réglementaire et au niveau des différents acteurs pour identifier les contraintes qui entravent le développement du secteur; identifier aussi les opportunités du secteur des transports routiers et leur inter pénétrabilité avec les nouvelles technologies et proposer un plan d’actions pour rendre plus efficace l’ensemble de l’industrie du transport routier au Togo; enfin, proposer des dispositifs de renouvellement du parc automobile avec un plan d’action chiffré et un calendrier de mise en œuvre, souligne “l’Union pour la patrie”, le Bihebdomadaire Togolais d’Informations et d’Analyses dans sa parution N°1402 du 05 Janvier 2021.

L’autorité publique a octroyé, toute l’année fiscale 2020, des avantages fiscaux et douaniers pour la mise en consommation au cordon douanier des véhicules de transport de marchandises et de personnes.
Le confrère relève que les mesures incitatives, contenues dans la loi de finances, gestion 2020, visent à « renouveler le parc automobile, faciliter les échanges, améliorer le climat social et l’environnement des affaires ».
Ainsi pour apprécier la mise en œuvre et l’efficacité de la mesure, le gouvernement s’appuie, cette fois, sur le projet de réhabilitation de la route Lomé-Cotonou (Phase 2) et de protection côtière.
La période de réalisation desdites prestations court à partir d’octobre 2021 pour une durée de douze (12) mois.
Le projet de réhabilitation de la route Lomé-Cotonou (Phase II) et de protection côtière fait partie du Corridor Abidjan-Lagos identifié comme l’épine dorsale du développement économique et social de la sous-région, et considéré de ce fait comme étant la première priorité du Programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA) de l’Union africaine (UA) et du Programme régional de facilitation des transports de la CEDEAO. Il porte sur le tronçon Lomé-Cotonou de ce corridor qui constitue aussi un maillon essentiel de la route Communautaire CU1 de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA).

Pour la Banque africaine de développement (Bad), bras financier du projet, ce dernier constitue une nouvelle étape dans la protection de l’ensemble du littoral togolais et béninois dans la mesure où il permettra de doter les deux pays d’un programme cohérent, complet et multidimensionnel de lutte contre l’érosion côtière.

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