Récépissé N° 0010/HAAC/12-2020/pl/P

Pluie de réactions au lendemain de la disparition subite de Joël Egah

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La presse togolaise pleure le décès survenu hier dimanche 6 mars de Joël Egah, le Directeur de publication du journal “Fraternité”.
Au lendemain de cette disparition, plusieurs relations pleuvent l’émotion et la douleur étant fortes. Ainsi, le ministre de la Communication et des Médias, Akodah AYEWOUADAN, sur sa page twitter se dit attristé.
« Je suis profondément attristé par la disparition, ce dimanche, du journaliste Joël Egah, DP de l’hebdomadaire Fraternité. Ma solidarité à toute sa famille, ses confrères et amis à qui j’adresse mes plus sincères condoléances suite à cette douloureuse perte », a écrit le ministre.

L’Observatoire togolais des médias (OTM), également « triste » de cette nouvelle du décès, à travers un communiqué salue la mémoire du grand journaliste qu’a été Joël Egah et présente toutes ses condoléances à la Famille Egah, à toute la rédaction du journal Fraternité et à tous ses proches. Il a par ailleurs invité l’ensemble de la corporation à avoir une pensée pieuse envers le confrère, l’ami, arraché de façon subite.

Le Conseil national des patrons de presse (CONAPP), de son côté, salue le journaliste de talent qu’a été Joël Egah, et le membre influent et actif qu’il a été au sein de cette organisation. « le regretté confrère était extrêmement investi dans l’exercice de son métier. Des années durant, il a mis un point d’honneur à animer “Fraternité” », a écrit El hadj Arimiyao TCHAGNAO.

Le PPT, aussi par un communiqué signé de son président, Isidore Akollor, regrette cette disparition, implore le Ciel pour le repos de son âme et présente ses condoléances aussi bien à la famille biologique qu’à la famille professionnelle de ce grand défenseur des causes nobles.

Pour rappel, Joël Vignon Egah, et Ferdinand Ayité avaient tous les deux, été arrêtés et détenus en décembre 2021 à la suite de l’émission « L’autre journal » diffusée sur Youtube le 30 novembre 2021. Ils n’avaient été libérés que le 31 décembre dernier et placés sous contrôle judiciaire.
Cette disparition est une grosse perte pour la presse togolaise.

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Le Nouveau Reporter
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